vendredi 23 juin 2017

Google « Le temps s'arrête pour celui qui admire »


Optimiste sans raison dans un monde d'affairistes,
Voyage sentimental en période estivale,
Laissons nos déceptions au vestiaire des artistes.
Soyons "l'original", plus de cérémonial.
Alain Février, samedi 24 juin 2017


« Les hommes d'Etat vivent au jour le jour, tous les événements les surprennent, et les problèmes qu'ils s'efforcent de résoudre sont ceux de la veille ou de l'avant-veille, qu'ils n'ont d'ailleurs pas encore compris » extrait de « Une rose au paradis » de René Barjavel

"...Attention, je ne suis pas en train de prôner le dévergondage sexuel. L'actuelle « libéralisation » des mœurs dont est victime notre jeunesse me paraît désastreuse. Coucher avec les copains ou les copines comme on boit un Coca-Cola, c'est là, justement, assouvir un besoin ou obéir à un instinct, comme on assouvit sa soif ou sa faim. Non seulement l'amour n'est pas présent, mais le désir non plus. Et même pas la liberté, car ces rencontres sont le plus souvent le fruit de décisions rapides, du « je-veux-faire-comme-les-autres », des circonstances, du hasard, et bien rarement d'un choix. Il ne peut rien en résulter de bon. On enseigne aux lycéens et lycéennes le fonctionnement de leur corps, mais non son usage, ni le respect de celui des autres. Que penserait-on d'un enseignement de la musique où l'on se bornerait à démonter le piano pour en montrer les marteaux et les cordes, en laissant ensuite la « liberté » à chacun et chacune de taper à coups de poing sur les touches ? Est-ce ainsi qu'on espérerait faire naître le bonheur de la musique ? "

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